mardi 30 mars 2010

UN GRAND VOYAGE AU COEUR DE NOUS!

Bonjour,

J’œuvre dans le domaine des soins de santé depuis déjà 15 ans à titre de naturopathe et massothérapeute. Malgré ces connaissances qui me procuraient une grande clientèle, j’avais l’impression qu’il me manquait des subtilités dans l’art du toucher. Je me suis donc inscrite en ostéopathie à l’Académie Sutherland d’ostéopathie du Québec, formation qui m’a entraînée dans un grand voyage de 6 ans au cœur des mouvements complexes du corps humain.

Pour acquérir tout l’art du dialogue entre les tissus et la main, l’ASOQ préconise un apprentissage où la complexité est la pierre angulaire de l’enseignement. Cette approche globale de l’homme en santé m’a apporté non seulement une compréhension des systèmes humains tous liés entre eux et en perpétuels changements et interactions, mais m’a obligée comme thérapeute à être moi-même dans un processus de réflexion, d’ouverture et de changement. Le métier d’ostéopathe est un merveilleux mélange d’art et de science. La méthode d’enseignement de l’ASOQ, apporte beaucoup plus qu’un nouveau savoir anatomique, physiologique, embryologique et biomécanique, elle nous permet de nous enrichir au plus profond de notre conscience et selon moi, c’est indispensable à tout thérapeute passionné.

Je suis diplômé de l’ASOQ depuis septembre 2009 et je mesure toute l’ampleur de l’efficacité thérapeutique de cette méthode d’enseignement. Les patients parlent souvent de magie, les ostéopathes aguerris à cette pratique de l’écoute et du toucher des tissus parlent plutôt d’un sens du toucher d’une très grande rigueur, qui nous permet de reconnaître une respiration tissulaire perturbée autant crânienne, viscérale qu’articulaire. Le nombre grandissant de patients désireux de me consulter et l’appui croissant de la médecine traditionnelle me confirme très humblement l’efficacité de mes traitements.

Le directeur pédagogique de cette institution M. Guy Voyer est celui qui a su si bien nous transmettre sa grande passion ostéopathique ainsi que nous apprendre à utiliser nos mains pour analyser, dupliquer et traiter. Milles merci M. Voyer pour avoir partagé avec grande générosité vos impressionnantes connaissances du corps humain.

Josée Villemaire n.d. D.O. et massothérapeute

Gaspésie

DE LA SIMPLICITÉ DANS LA COMPLEXITÉ: ACADÉMIE SUTHERLAND

Si vous cherchez la passion de l’ostéopathie, vous êtes à la bonne école.

Vous aurez la chance EXTRAORDINAIRE de faire partie d’une nouvelle école d’ostéopathie qui fonde ses assises sur le respect des fondements de Still. Car si Andrew Taylor Still a su redonner l’intelligence au corps humain grâce à ses découvertes, Guy Voyer, le directeur pédagogique,par sa contribution, sait les perfectionner.

Notre école est la seule à promouvoir des techniques d’auto-normalisation.

Reconnaissant toute la valeur inestimable du fascia - ce tissu de connexion qui englobe le corps humain - la réputation de monsieur Voyer s’est fondée sur la mise sur pied de deux approches d’auto-normalisation. Ces exercices s’adressent à notre clientèle afin de compléter et perdurer les bienfaits de nos traitements. Les Étirements Myo-Fasciaux (EMF) s’adressent à l’équilibration des tensions fasciales et musculaires et ce, dans une philosophie de globalité corporelle. C’est un cours d’étirement thérapeutiques pour professionnels. Je n’aurais jamais cru qu’on pouvait étirer le biceps de deux façons ; c’est logique, il y a deux muscles (bi) donc deux directions, deux attaches différentes, deux mouvements. Le plus remarquable, à mon avis, sont les ELDOA, (étirements longitudinaux pour une décoaptation ostéo-articulaire), en deux mots, des exercices d’étirements pour replacer les vertèbres, la colonne. Wow ! Moi, je ne croyais pas qu’on pouvait s’autoguérir d’un déséquilibre de la colonne vertébrale avec une technique d’auto-étirement. J’ai la preuve maintenant que si.

Je ne connais pas les autres écoles d’ostéopathie, du moins, leur programme de formation. Mais, lorsque l’on constate des ostéopathes déjà diplômés reprendre une formation complète avec monsieur Guy Voyer et se montrer en extase devant la formation, cela parle beaucoup. Certains affirment qu’ils ont vraiment compris les fondements profonds de l’ostéopathie grâce aux enseignements de monsieur Guy Voyer.

Les techniques ostéopathiques sont enseignées dans un esprit de compréhension profonde de la réaction tissulaire, une compréhension de la physiologie dans le détail de la fibre musculaire, (ponts d’actine et de myosine). Nous comprenons mieux ainsi l’impact de nos techniques. L’explication physiologique des échanges intra-extra-cellulaires qui créént la réaction de dépolarisation, qui transforment le gel en sol et vice versa, point capital qui explique l’équilibration du MRP, le mouvement respiratoire primaire, élément tant recherché par un ostéopathe.

Personnellement, je trouve remarquable la quantité de techniques que nous avons apprises et ce, pour des régions du corps que nous n’aurions jamais cru « traitables », comme les yeux. Je n’aurais jamais cru qu’un ostéopathe puisse avoir une incidence positive sur les cataractes, - fait qui s’explique en ostéopathie comme étant une dégénérescence de l’œil qui se voit mal irrigué due à une trop forte pression intracrânienne, par exemple.

Il semble facile de démontrer des techniques générales mais, pour une clientèle avec des problématiques plus spécifiques, l’Académie Sutherland répondra à vos attentes en vous offrant une multitude de techniques variées et adaptées à plusieurs problématiques, le tout exposé dans une philosophie de liens fasciaux entre la structure et la fonction.

La particularité de cette école se fonde sur sa diversité, son efficacité. De la simplicité dans la complexité, voilà l’Académie Sutherland.

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Tous les gens qui gravitent autour de l’Académie possèdent cette passion.

Les professeurs sont tous des ostéopathes qui connaissent le fonctionnement des autres écoles d’ostéo., se perfectionnent dans leurs disciplines et se vouent pour l’évolution de l’ostéopathie. Certains cumulent même 2-3 formations d’ostéopathie avec plusieurs approches philosophiques différentes. Ce qui fait que la complexité de l’école est remarquable.

Je remercie tous les professeurs qui m’ont donné un peu d’eux, qui m’ont partagé leur savoir, leur être et leur passion.

Pour ceux qui ne connaissent pas beaucoup l’anatomie ou pour les mordus de connaissances anatomiques, biologiques, pour tous les passionnés du corps humain la porte vous est grande ouverte. À l’Académie Sutherland, la science se maîtrise d’abord, puis intervient l’art.

À l’académie Sutherland, on vous remet dans les mains des outils extraordinaires basés sur des années de connaissances et d’expériences. Et, on vous offre en prime la passion. Quoi demander de mieux ?

C’est dans la simplicité qu’on vous fait vivre toute la complexité du corps humain. On reçoit de tous nos prédécesseurs et on redonne l’essentiel, la passion de la vie.

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Pour des raisons que nous ignorons vraiment tous, Guy Voyer a subi une certaine controverse dont certains utilisent encore pour nuire à son école. L’Académie a vécu une période dramatique où certains agents cancéreux sont venus entacher notre réputation. Contrairement au virus qui frappe n’importe qui, à condition que le terrain soit faible, le dessein de certains gestes humains nous étonne parfois.

Quelle école n’a pas commencé par une période d’adaptation, d’ajustement ? L’Académie ne diffère pas.

Nuire à Guy Voyer, c’est nuire à l’Ostéopathie. Car, pour ceux qui le connaissent de près, ô combien il représente un grand homme, un grand ostéopathe.

Il fonde son école sur un des principes fondamentaux décrits par Still, lui-même, dans son recueil, Philosophie de l’ostéopathie : « Un ostéopathe se doit d’être un homme lucide, consciencieux, amateur de vérité et ne doit jamais parler sans être certain d’avoir découvert et pouvoir démontrer la vérité qu’il prétend connaître. » (p.131)

De plus, p.70. Still ajoute: « Ce n’est pas le moment pour l’ostéopathe intelligent de brandir le drapeau blanc de la défaite et de la reddition. Ouvrez les portes de votre plus pure raison, ceignez la ceinture de l’énergie et délestez le vaisseau sombrant de la vie. Jetez par-dessus bord tous les poids morts du fascia et réveillez les forces des émonctoires. Laissez tous les nerfs montrer leurs forces pour rejeter tout poids qui diminuerait ou réduirait les énergies de la nature. Donnez-leur l’opportunité d’œuvrer, donner-leur tous les nutriments et la victoire sera du côté de l’ingénieur intelligent. Ne jamais capituler. »

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Oui, moi je suis, fière, très fière même d’appartenir à une école de la lignée de Still : qui reconnaît avant tout l’être humain derrière le professionnel ; qui s’attarde à l’essence du moteur de l’évolution de l’homme, sa passion. Oui, moi, c’est la passion que je suis allée chercher à cette école, la passion d’un homme qui croît plus que tout en l’ostéopathie.

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Le corps humain, ce merveilleux chef d’œuvre de Dieu, comprend également des périodes d’instabilité, d’adaptation et parfois, de grands désordres, lorsqu’il se trouve confronté à de nouvelles situations perturbantes. Mais, grâce à son intelligence inhérente, à sa force de vie, il réussit toujours à nous impressionner et à nous remettre sur pied. Pour autant qu’on lui donne des bons matériaux, de l’amour, de l’attention, bien entendu. C’est ça l’homéostasie. Toujours revenir vers l’équilibre.

Martine Lamoureux

dimanche 21 février 2010

POINT DE VUE D'EXPÉRIENCE

Tout d'abord, permettez-moi de me présenter. J'ai une soixantaine d'années. Je suis Docteur en Médecine (France – 1976), Acupuncteur (1978) et Ostéopathe diplômé (D.O. France – 1989). J'ai été formé dans une école française où la philosophie des pères fondateurs était parfaitement respectée, ce qui devient de plus en plus rare. Pendant plus de quinze ans, j'ai été chaque année membre des jurys de la Collégiale Académique de France (Association regroupant plusieurs écoles en charge de délivrer un diplôme d’ostéopathie (D.O.) à caractère national). De ce "passé", j'ai acquis une certaine expérience professionnelle et une certaine connaissance du paysage ostéopathique français et de la spécificité des écoles qui le composent.

Aujourd'hui, après avoir lu, sur différents "blogs", des "attaques en règle" contre l'Académie Sutherland d'ostéopathie du Québec (A.S.O.Q.) et contre son Directeur Pédagogique, Monsieur Guy Voyer (D.O.), j'ai décidé d'apporter ma positive contribution.

J'ai choisi de ne pas m’adresser directement à ces détracteurs, car le ton employé dans ces différentes attaques traduit, pour le moins, un manque d'ouverture et ma réponse ne ferait qu’alimenter une polémique stérile. J'ai donc préféré m'adresser à des personnes ouvertes et sans préjugé en portant témoignage sur le blog de l'A.S.O.Q.

UNE ÉCOLE DE QUALITÉ

En 2002, lorsque je me suis présenté à l'Académie Sutherland France (Marseille), je venais lui offrir mes services en tant qu'enseignant. Quand j'ai lu le programme des six années de formation, j'ai décidé de m'y inscrire en tant qu'élève et je n'ai pas été déçu.

Si je connaissais déjà, de par ma formation initiale, la philosophie de la globalité et la rigueur d'un enseignement qui aborde toutes les parties du corps, j'y ai découvert une originalité particulière et, à ma connaissance, unique à cette école. Il s'agit des techniques de pompages et de l'approche myo-fasciale et viscéro-fasciale qui y sont enseignées. C'est d'ailleurs en grande partie, grâce à cette approche et contrairement à ce que certains détracteurs prétendent, que l'ostéopathe issu de cette formation sera à même de traiter certaines atteintes pulmonaires, cardiaques, digestives, gynécologiques, neurologiques, oculaires, endocriniennes, etc…

Et je suis loin d'être le seul à avoir fait cette démarche, car je connais une dizaine d'ostéopathes francophones ou anglophones qui, déjà diplômés d'une autre école canadienne, ont entièrement suivi l'enseignement de l'A.S.O.Q. Certains d'entre eux, sans doute impressionnés par la qualité de cet enseignement, ont d'ailleurs décidé de valider le D.O. de l'A.S.O.Q. (dont ils n'avaient nul besoin pour pratiquer) afin d'en faire état pour une future reconnaissance.

Cet enseignement de qualité, à la fois traditionnel, holistique et essentiellement pratique, n'a pourtant rien d'ésotérique. Il s'appuie sur des sciences fondamentales comme l'anatomie, l'embryologie, l'histologie, la physiologie, la cinésiologie et, bien sûr, la biomécanique. Les professeurs qui y enseignent sont aussi de qualité puisqu'ils ont été formés par Guy Voyer (D.O.) le Directeur Pédagogique de cette école

UN DIRECTEUR PÉDAGOGIQUE TRÈS COMPÉTENT

Je ne saurais terminer ce témoignage sans dire mon respect et mon admiration pour les connaissances de Guy Voyer. De tous les ostéopathes, médecins ou non médecins, qu'il m'a été donné de rencontrer au cours de ma carrière, il est sans nul doute le plus compétent à mes yeux.

Au plan ostéopathique, sa capacité d'écoute et de toucher est très affûtée et ses traitements, respectant la complexité du corps humain, prennent en compte l'interactivité des différentes fonctions de celui-ci, ce qui est déjà exceptionnel.

Mais ce qui est encore plus exceptionnel et qui force le respect, c'est sa connaissance impressionnante et dans les moindres détails de la cinésiologie, de la biomécanique et surtout de l'anatomie en trois dimensions (que je suppose acquise après des heures de dissection), sa capacité à tirer de nombreuses informations de la simple observation de son patient et à interpréter ostéopathiquement les imageries médicales ; et la liste pourrait être encore plus longue !

Il ne fera de doute pour personne que de telles qualités de thérapeute rejaillissent forcément sur la qualité de son enseignement et sur celle de ses élèves car, comme aurait pu dire Monsieur de la Palisse, "Plus le maître est de qualité, plus le disciple a des chances de l'être."

Je terminerai par un proverbe chinois : "Quand l'Initié montre le ciel du doigt, le Profane ne voit que le doigt".

S'il plaît au lecteur de me considérer comme un initié, j'espère, qu'à travers ce témoignage, il ne verra pas …… que le doigt.

Daniel MICHEL

L'ACADÉMIE SUTHERLAND: POURQUOI?

Nous sommes en 2000, je cherche à parfaire mes connaissances sur le domaine du corps humain. Je détiens un diplôme de masso-kinésithérapie depuis 2 ans mais je recherche une autre approche, plus complète, avec une approche plus globale.

J’entends alors parler d’un domaine complexe mais très intéressant : l’ostéopathie. J’ai visité plusieurs écoles, allant à des soirées d’introduction sur le sujet, je prends note de la ressemblance des discours. Soudain, un ami m’appelle, il me parle d’une nouvelle école qui prend forme. Selon ses dires, les cours d’une qualité hors paire. Je me déplace pour une autre soirée d’information (en fait c’était un séminaire sur des exercices de type ELDOA).

WOW, le discours est d’un autre langage, je veux dire complètement. Mon choix est fait, 3 écoles plus tard, je m’inscris à cette jeune école qui prône le devenir et non le devenu. Aucun besoin de diplôme universitaire, seulement une motivation et un engagement ferme de réapprendre d’un nouveau point de vue : celui de la complexité. Mais pourquoi me parle t-on de philosophie alors que je viens apprendre des « techniques ostéopathiques »?

On m’enseigne que la philosophie est au cœur de cette école qu’est l’Académie Sutherland. D’abord parce qu’elle respecte la vision du père fondateur de l’ostéopathie : Andrew Taylor Still.

1er le rôle de l’artère est absolu

2ième La structure gouverne la fonction (et vice versa)

3ième le corps est un tout complexe et interrelié

4ième le corps possède la capacité d’auto guérison

Dans cette école, on m’a appris que la connaissance anatomique était à la base de l’ostéopathie, une base qui se doit d’être étudiée et comprise. Nous n’avons qu’à regarder le plan de cour de l’Académie Sutherland pour comprendre combien elle tient à cette philosophie qui nous est transmise du fondateur même de l’ostéopathie : ‘vous commencez avec l’anatomie et terminez avec l’anatomie’.

Dix ans se sont écoulés depuis mon début de formation, dès la première année, j’ai été encouragé à développer mon senti en commençant à donner des soins. Maintenant, je vis à temps plein de mon métier, ayant une qualité de vie extraordinaire, et je reste profondément respectueux envers cette école de m’avoir permis de suivre cette formation d’une richesse incomparable.

Cette richesse m’a été est passionnément transmise par Monsieur Guy Voyer. Il faut le voir traiter avec des mains qui sentent, pensent et voient, pour comprendre la profondeur de cet art qu’est l’ostéopathie.

Je reste profondément convaincu que L’ASOQ est une école d’une qualité incomparable si nous prenons le temps d’observer.

Eric deraps
Étudiant ASOQ


dimanche 14 février 2010

OUVRONS LES GUILLEMETS """

Avant d'écrire ces quelques lignes j'ai relu divers passages sur le site internet de l'Académie Sutherland d'ostéopathie du Québec (www.academiesutherland.com) me rappelant l'idée première de la création de cette école et de la grande similitude entre l'être humain dans sa globalité, la philosophie de l'ostéopathie et l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec que j'ai personnellement constaté tout au long de mes années d'études.

«L'être humain est un tout, un système en interdépendance continuel. L'ostéopathie fait en sorte qu'elle intègre l'être humain dans son ensemble et son environnement. L'Académie Sutherland nous propose une façon de traiter et de concevoir le corps dans sa globalité.»

«L'intégration de l'apprentissage de la complexité du corps humain dans son ensemble dans les concepts physiologiques, anatomiques et sémiologiques nous permet de remédier aux différents problèmes d'une façon différente. L'ostéopathie englobe toute la personne, aussi bien son aspect physique, qu'émotionnel ou spirituel. Puisque l'être humain fait partie intégrante d'un tout, nous le considérons comme tel.»

««La chaine n'a de solidité que celle de mon maillon le plus faible.» (Guy VOYER D.O.) C'est dire que cette interactivité est primordiale à l'équilibre de l'organisme. Si un des éléments constitutifs est faible, c'est l'ensemble qui en sera affecté. Le corps cherchera des compensations pour garder son équilibre, son homéostasie. Cette stabilité n'est possible que grâce à la complexité du corps, à l'interaction et à la variété de ces composantes.»

«Nous sommes dans le monde du vivant, du mouvement, de la mutation permanente. La vie est le principe même du changement, dans un perpétuel déséquilibre qui se compense. Dans le domaine de la complexité, les interactions sont imprévisibles et inattendues.»

«L'approche systémique... nouvelle méthodologie, permettant de rassembler et d'organiser les connaissances en vue d'une plus grande efficacité de l'action. À la différence de l'approche analytique, l'approche systémique englobe la totalité des éléments d système étudié, ainsi que leurs interactions et leurs interdépendances.» (De Rosnay)

«Le système est une totalité organisée, fait d'éléments solidaires, ne pouvant être définis que l'un par rapport aux autres en fonction de leur place dans la totalité.» (De Saussaure)

« La plupart des penseurs s'accordent sur le fait qu'un système se fonde sur quatre grands concepts; l'intégration, la totalité, la complexité et l'organisation. L'ostéopathie sera donc holistique, globale quand tous ces éléments seront respectés.»

«C'est donc dans la compréhension de la complexité, de l'approche systémique que l'on parviendra réellement à pratiquer l'ostéopathie comme le fit Andrew Taylor Still lorsqu'il en élabora les bases.»

«Aujourd'hui, nous observons que l'ostéopathie s'est développée suivant trois sphères importantes.

La science biologique
L'art de l'ostéopathie
La philosophie de l'Ostéopathie»

La science biologique

«C'est par ses connaissances pointues de l'anatomie et de la physiologie que l'ostéopathie basera sa thérapeutique. C'est aussi par des connaissances approfondies que les ostéopathes se démarque de la médecine traditionnelle.»

«L'ostéopathie prend ses racines dans le paradigme de la complexité. Il semble donc évident que son enseignement doit se référer à la même philosophie. C'est pour cela que l'Académie Sutherland met l'accent sur l'efficacité, ce qui sous-entend une préparation personnelle importante du contenu théorique du cours, pour permettre ensuite de focaliser sur la pratique.»

L'art de l'ostéopathie

« L'enseignement de l'ostéopathie à l'Académie Sutherland doit permettre de développer la dextérité nécessaire à l'éveil de l'intuition. Comme l'artiste qui doit maitriser les bases avant de pouvoir s'exprimer, l'ostéopathe doit avoir une maîtrise des bases embryologiques, physiologique et anatomiques avant d'exercer son art. L'art et la science sont donc interactifs, en constante communication. Dès lors, on ne peut plus parler de linéaire puisque du moment où l'intuition se mêle à la science, les résultats ne sont plus reproductibles, on ne peut que suivre l'émergence d'une réponse.»

La philosophie

« «C'est cette approche philosophique qui permet à l'ostéopathie d'avoir un mode de pensée thérapeutique unique à l'occident. La description de la philosophie de l'ostéopathie lors d'un discours prononcé par Littlejohn devant la convention de l'association des ostéopathes le 12 octobre 1934;

«Nous devons nous rappeler la pensée centrale de la philosophie thérapeutique de Galien (Claude Galien, médecin grec, 131-201) selon laquelle l'organisme humain devrait toujours être considéré comme une unité et, comme telle, ne pas être divisé en parties ou sections. Cette conception est une tentative pour élaborer une théorie de la maladie à partir d'une cellule isolée ou de groupes de cellules. L'ensemble de l'organisme vivant dans son environnement est plus important que la connaissance la plus intime de toutes ses parties» Notre système est un succès parce que nous nous conformons à ce principe. Notre technique se fonde sur le corps humain comme un tout, sur la relation mutuelle de toutes ses structures et sur la relation mutuelle entre la structure et l'environnement, fournissant la clé pour la découverte des changements qui génèrent la maladie.»»

«L'ostéopathie à comme objectif de découvrir par des méthodes physiques, non pas les symptômes, mais les causes de la maladie, en connexion avec les déplacements des tissus, l'obstruction des fluides et ce qui interfère avec les ressources et les forces nutritives de l'organisme.» A.T.Still

«L'individu biologique est un tout concret possédant une structure qui lui permet, lorsqu'il se trouve placé dans des conditions convenables, d'accommoder constamment ses relations internes aux externes, de manières à conserver l'équilibre de ses fonctions.» Herbert Spencer.

Ces différentes citations retrouvées sur le site de l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec démontrent ce qu'est l'Académie et ce que je crois qu'elle doit être et perdurer dans le futur.

Relire ces différents concepts m'ont permis de faire le point et de revoir, de constater, de redécouvrir ce que l'ostéopathie enseignée à cette école m'a apporté et m'apportera dans toutes les sphères de ma vie et ce pour le reste de ma vie.

À l'Académie Sutherland, l'étude, la compréhension et l'intégration des différents concepts de l'être humain par l'Ostéopathie fait de cette école ce qui la distingue.

L'Académie Sutherland est un tout, elle est vivante et est composée de différentes parties mais principalement d'êtres humains.

Le but est de garder cette école vivante et en homéostasie, si chaque partie applique les différents concepts cités plus haut je crois que le résultat sera extraordinaire...

Bien à vous,

Sophie GAGNON D.O.
Ostéopathe issue l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec.

PRÉ-REQUIS: MOTIVATION ET SOIF D'APPRENDRE!

Je tiens par la présente à faire état de la qualité de la formation ostéopathique dont j’ai bénéficié à l’Académie Sutherland.

Cette formation de haut niveau d’une durée de 6 ans, s’appuie sur une volonté d’offrir un programme accessible aux personnes motivées et désireuses de pratiquer l’ostéopathie en respect des valeurs premières fondamentales inculquées par les fondateurs de cet art de soigner qu’ont été Andrew Taylor Still, John Martin Littlejohn, et autre William Garner Sutherland.

Ce dernier, journaliste de formation, a su s’imprégner de cette philosophie ostéopathique traditionnelle pour acquérir de manière intelligente les indispensables connaissances scientifiques anatomiques, physiologiques ou biomécaniques, qui unies à son ouverture sur le monde et à son grand sens du toucher, ont fait de lui un Ostéopathe de renom.

L’Académie Sutherland, elle même respectueuse de ses Pères, sait aujourd’hui rendre hommage à cet homme d’exception qu’a été W.G.Sutherland en prônant une philosophie ostéopathique ouverte sur la complexité d’étudiants aux profils divers et variés dont le seul prérequis à leur acceptation au programme reste leur motivation et leur soif d’apprendre.

Ainsi, je me souviens encore aujourd’hui du sentiment de fierté qui m’habitait au sortir de mes 6 années d’études et de l’obtention de mon diplôme d’Ostéopathe, fier du travail accompli, fier de la qualité du diplôme obtenu, et fier de qui j’étais devenu.

Car une formation d’Ostéopathie de qualité ne peut que faire de vous un autre être, un être ouvert au paradigme de la complexité, un être humble et ouvert aux interrogations et à l’incertitude, mais aussi un être cherchant à mettre en lien les différents systèmes au profil d’une action thérapeutique globale, respectueuse de ses principes fondamentaux originels.

Masseur-Kinésithérapeute diplômé de l’état français depuis 1998, je mesure pleinement le chemin parcouru depuis 12 ans. Je peux témoigner de la très large variété de techniques ostéopathiques que l’on nous a enseignées à l’Académie Sutherland.

Nous déstabilisant par moments, elles avaient surtout pour but de nous faire développer notre sens du toucher, mais aussi de nous faire créer des liens entre les différentes structures observées.

Et ce sont ces liens unissant l’art à la science qui alimentent aujourd’hui ma passion pour l’Ostéopathie, ma passion pour soigner les gens, leur faire prendre conscience de leur problématique, et les éveiller à leur nécessaire implication vers le chemin de la guérison.

Ces conditions réunies, je peux rendre compte bien humblement de la grande efficacité thérapeutique de ma prise en charge ostéopathique, tout comme certainement l’ensemble des ostéopathes diplômés et autres étudiants de l’Académie Sutherland peuvent le confirmer également.

Cette Ostéopathie de haut niveau, je la dois et nous la devons en grande partie au talent, au savoir et au dévouement d’un autre Ostéopathe de renom, Guy Voyer, qui a su nous transmettre son amour et sa foi pour une Ostéopathie fière du respect de ses valeurs philosophiques traditionnelles, et confiante et ouverte sur sa nécessaire adaptation aux réalités d’aujourd’hui.

Puisse l’Académie Sutherland continuer longtemps de former des Ostéopathes dont la qualité ne cessera de rendre compte de leur nécessité au sein de la société.

Bien ostéopathiquement,

Jérôme BOISTEAU, D.O.
 

UNE ÉCOLE EN ACCORD AVEC LES PRINCIPES D'A.T. STILL!

J'ai, au cours des six années de ma formation, pris conscience de la qualité du programme de l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec en discutant avec mes confrères de d'autres écoles. Certes, il y a du bon et du mauvais dans tous les programmes académiques, par contre, je peux affirmer que celui de l'ASOQ est en accord avec les principes directeurs du fondateur de l'ostéopathie Andrew Taylor Still. L'ostéopathie est, comme il le disait "de l'anatomie, de l'anatomie et encore de l'anatomie".

De plus, un avantage de ce programme est de permettre un retour constant sur les sujets précédents, améliorant ainsi l'intégration des connaissances. Ce mode d'enseignement respectant le paradigme de la complexité permet d'être en accord avec les principes de l'ostéopathie et de la globalité. Les examens de synthèses ainsi que les travaux de groupes permettent à l'étudiant de mieux intégrer, cerner et comprendre complexité et le principe de globalité du corps.

Les documents de l'Académie sont faits de façon à ce que l'étudiant puisse préparer convenablement le séminaire suivant. De cette façon, l'intégration de la matière est optimale et favorise le questionnement de l'étudiant. Ce qui donne aussi l'avantage d'avoir un cours qui est plus interactif et beaucoup moins scolaire auquel nous sommes habitués.

Une bonne façon de comprendre l'ampleur d'un programme est de consulter non pas le descriptif du cours mais de pouvoir consulter le contenu détaillé de ce qui y est enseigné. Celui de l'Académie est impressionnant.

Enfin, je ne peux qu'être qu'extrêmement satisfait de mes six années de formations à l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec. Tout en sachant que l'ostéopathie ne peut se comprendre sur une si courte période de temps, je peux dire qu'au moins, les bases que j'y ai acquises sont solides.

INVESTIR DU TEMPS POUR LA PRATIQUE...CA VAUT DE L'OR!

Pour être mené à bon port, il faut connaître les chemins qui y mènent. Une ostéopathie efficace ne peut en être différente. En ce sens, un bon ostéopathe aura des connaissances en anatomie, biomécanique, physiologie, sémiologie et bien plus. À l'Académie les matières de bases enseignées étaient assez poussées pour discuter convenablement avec les professionnels de la santé. Sans être des spécialistes dans toutes les sphères, je crois que nous sommes de bons généralistes.

De plus, l'Académie a pris la décision d'obliger ses étudiants à mettre en pratique les notions apprises à chacun des séminaires. Ce qui a comme résultat qu'au bout de six années d'études, notre toucher est suffisamment développé pour travailler efficacement.

Le toucher, comme je le dis souvent à mes patients, c'est comme le goût du vin; ça se développe avec la pratique. Je suis très heureux que l'Académie ait eu la même réflexion. Aussi, les exigences de pratiques obligatoires ont développé chez moi une assurance bien avant que j'affronte le marché du travail. Et le résultat sur mes patients se fait sentir rapidement. C'est un investissement de temps qui a valut et qui vaut aujourd'hui son pesant d'or.

Je crois sincèrement que cette jeune école, doit poursuivre son enseignement de haute qualité.

GUY VOYER DÉMYSTIFIE L'OSTÉOPATHIE

Depuis le tout début de mon attirance envers l’ostéopathie, j’ai reçu des traitements de différents ostéopathes dont M. Guy VOYER. Mes raisons étant très diverses, que ce soit par intérêt; provenant du milieu de la massothérapie et de la kinésithérapie, je cherchais à connaître les autres approches entourant la discipline que je pratiquais à l’époque; pour le bien-être; je m’entraîne régulièrement et mon corps me fait signe quand il ne peut plus compenser, mais aussi par curiosité parce qu’on disait à l’époque, et encore aujourd’hui, que l’ostéopathie est mystérieuse et magique.

C’est surtout ce dernier point qui a attiré le plus mon attention. La façon d’expliquer, de la part de plusieurs ostéopathes, les choses de façon étrange avec des termes particuliers, entretient ce mystérieux halo autour de cette profession. Étant de nature plutôt pragmatique, cet élément mystique m’agaçait et le premier qui a su remettre un peu d’ordre dans mes idées et questionnements est M. VOYER. Les références anatomiques qu’il utilise dans ses explications et les rapports que les structures ont entre elles rendent l’ostéopathie plus terre-à-terre et dissipent le nuage mystique qui peut planer sur l’ostéopathie. Ce sont d'ailleurs ces valeurs qui sont propres à l'ostéopathie traditionnelle.

La philosophie de M.VOYER apporte aussi beaucoup. L’approche de la complexité qu’il met de l'avant, nous amène à mieux saisir les multiples dimensions que peuvent prendre les malaises de nos patients. Sans avoir de recettes pré-établies, la philosophie de la complexité, mise de l'avant à l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec, m'a permis de mieux vivre et travailler avec l'inconnu et l'abstrait que peuvent représenter les douleurs de mes patients. La philosophie de la complexité m'a permis de mieux saisir le concept de globalité qui est si cher à l'ostéopathie. Ce qui est une force qui fait la différence de cette Académie.

Je peux dire pour ma part, que M. VOYER est dans une classe à part. Son professionnalisme, son approche thérapeutique toujours très précise et en lien avec la problématique du patient, ses explications très terre-à -terre. Les exercices thérapeutiques qu’il propose nous apportent un sentiment de sécurité et sont d’une réelle efficacité. Très loin de certaines approches plus ésotériques pratiquées par plusieurs ostéopathes.

Je terminerai en disant que M. Guy VOYER est un ostéopathe exceptionnel en qui j’ai un très grand respect.

Luc GAGNON D.O.
Diplômé 2007 de l’ASOQ

dimanche 7 février 2010

L'ACADÉMIE SUTHERLAND, UNE ÉCOLE HORS DU COMMUN

Je suis étudiant à l’AS depuis maintenant 5 ans et je veux exprimer mon soutien le plus profond pour cette Académie. Cette école m'a permis de trouver ma voie dans le domaine des médecines alternatives et je la recommande sans retenue.

C’est d’abord et avant tout son approche de l’enseignement et son ouverture d’esprit qui m’ont attiré vers cette école. Après avoir visité d’autres écoles d’ostéopathie et après avoir commencé ma formation au Collège d'Étude Ostéopathique, j’ai rapidement constaté que ce n’était pas ce que je cherchais. Et c’est suite à une visite en cours à l’AS que j’ai compris que ce n’était pas une école comme les autres.

Premièrement, parce que l’AS n’exige pas d’études préalables en santé pour être admis. Ce qui, pour certains, pourrait sembler être une faiblesse, en est une force à mes yeux. Puisque pour moi, toute personne qui veut apprendre ne devrait être limitée que par sa volonté. C’est donc en s’inspirant du célèbre ostéopathe William Garner Sutherland (qui fut journaliste d’abord) que l’AS ouvre ses portes à tous.

Deuxièmement, c’est un enseignement d’une précision hors pair et d’une philosophie holistique qui se reflète directement dans l’apprentissage. On nous amène donc constamment à nous questionner et à nous plonger dans ce qu’est la complexité, la tenségrité, l’anatomie de liens et la vision du tout. Il n’y a pas de recette ni de certitude. C’est donc cet enseignement qui reflète et qui baigne dans la philosophie même de l’ostéopathie qui démarque l’AS des autres écoles d’ostéopathie. Alors qu’elles tendent toutes à s’éloigner, par leurs enseignements analytiques et procéduraux, l’AS résiste. Non sans opposition.

Troisièmement, c’est le fondateur et directeur pédagogique de l’AS qui apporte une grande richesse à l’école. C’est par sa connaissance infinie dans d’innombrables sphères de la santé, son désir obsessif de transmettre la philosophie ostéopathique et par son grand talent d’ostéopathe que M.Guy Voyer rend l’AS encore plus exceptionnelle. C’est un passionné qui sait nous transmettre cet amour de l’ostéopathie.

Finalement, je renverrai toutes personnes soucieuses de savoir ce que l’AS a de plus que les autres écoles aux étudiants qui, après avoir été diplômés dans d’autres écoles, ont tout recommencé à l’AS. Ce sont ces étudiants (maintenant D.O. diplômés de l’AS) qui ont anéanti mes doutes à l’époque et grâce à qui maintenant je suis certain d’avoir fait le bon choix. Puisque j’ai maintenant ma clinique et que les nombreux témoignages des gens satisfaits de mes traitements en font foi.

Sébastien Gagnon Bc. Sc. Kinésiologue
Étudiant en 5e année à l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec


UNE RÉVOLUTION DANS L'ART D'ENSEIGNER ET DE TRAITER

Il y a quelques années, j’ai consulté M.Guy Voyer à quatre reprises pour des troubles musculo-squelettiques résultant en une incapacité à exercer mon métier d’éducateur physique. Dès la première consultation, j’ai tout de suite ressenti un bien-être conduisant à une amélioration de ma condition physique. Par des exercices de pompages, de contractions suivis de relâchement et par des techniques de normalisations douces, M.Voyer est venu à bout de mes douleurs et ce en quelques traitements seulement.

Devant ces résultats quasi-immédiats, j’ai moi-même référé M.Voyer à plusieurs personnes qui ont elles aussi été très satisfaites des services de M.Voyer. D’ailleurs, j’ai moi-même assisté à plusieurs de ses traitements en tant qu’étudiant observateur au cours de ma formation en ostéopathie à l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec.

Voilà pourquoi je suis en mesure d’affirmer que les traitements ostéopathiques prodigués par M. Voyer sont de grande qualité. À noter que son expérience, basée sur une connaissance approfondie de l’anatomie et de la physiologie, sa grande capacité à écouter et à ressentir les maux des patients, son toucher précis et efficace, sa capacité à vulgariser et à enseigner aux patients et aux étudiants les liens et la complexité du corps humain, font de M. Voyer un excellent thérapeute qui est constamment à l’avant-garde.

POURQUOI L'ACADÉMIE SUTHERLAND?

Mon parcours personnel a été de conclure mes études universitaires en enseignement de l’activité physique dès 1997. À ce moment, j’ai débuté ma carrière en enseignement et ce n’est que quelques années plus tard en 2003, après avoir longuement réfléchi, que j’ai débuté ma formation en ostéopathie avec M. Guy Voyer D.O. à l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec. Je suis maintenant diplômé depuis 2009.

Par ailleurs, mentionnons qu’au Québec la formation en ostéopathie est offerte par plusieurs écoles et il va sans dire que le choix d’une école ou une autre repose sur une mûre réflexion.

À cet égard, j’aimerais vous mentionner que le choix de suivre mes études à l’Académie Sutherland d’Ostéopathie à été pris en fonction de l’approche pédagogique de M. Voyer. Cette nouvelle façon d’apprendre les concepts de l’ostéopathie traditionnelle proposée à l’Académie a non seulement révolutionné ma méthode d’apprentissage personnelle mais a aussi révolutionné mon style d’enseignement au quotidien. Malgré toutes les études universitaires et l’expérience personnelle que j’avais accumulée en enseignement, M. Voyer a su m’apprendre comment apprendre.

Concrètement, c’est en s’appuyant sur la logique systémique et les concepts de complexité, définis par certains grands penseurs de ce siècle, que nous, étudiants avons pu faire des liens essentiels à la compréhension et à l’apprentissage de ce qu’est l’ostéopathie traditionnelle : une science et un art. Je crois fermement que c’est à ce niveau que l’Académie se démarque le plus des autres écoles et pour cela, nous devons assurer la pérennité de cette institution

Parlons du cursus d’études, qui de façon agile et bien monté, permet à l’étudiant d’appliquer en clinique, et ce dès les premiers stages les techniques apprises. Celles-ci sont continuellement revues en cours de formation pour faire en sorte qu’à la fin des études, elles soient maîtrisées avec un haut niveau de compétence.

En définitive, je suis fier d’être diplômé en ostéopathie à l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec et je considère avoir reçu un enseignement de très haut niveau.

Renaud DUGUAY-LEFEBVRE, D.O.
Enseignant, Ostéopathe
161 Faillon, Montréal
Québec, Canada

samedi 6 février 2010

FORMATION SOLIDE!

Bonjour,

Je voudrais souligner ma satisfaction face au cours d’ostéopathie que j’ai suivi à l’Académie Sutherland. Les six années passées à cette école m’ont permis d’acquérir une formation solide en anatomie, philosophie, physiologie, sémiologie, etc… La façon d’enseigner à l’Académie Sutherland repose sur l’intégration graduelle de nouvelles connaissances, une répétition de ces informations et une mise en pratique dès leur acquisition.

Par exemple, au début de la formation, nous apprenons l’anatomie et la biomécanique des différentes articulations du corps, nous voyons également des techniques de pompages qui permettent de traiter ces mêmes structures. Cela facilite la rétention de l’information. En plus, la répétition de ces connaissances sera faite lors de l’apprentissage de la musculature de ces régions et encore une fois lors des fasciae puis du système circulatoire et nerveux. Cette façon d’enseigner est très efficace puisqu’il s’agit d’un processus où chacun y va à son rythme.

Il en va de même pour les examens, la possibilité de reprendre un examen manqué permet d’enlever le stress. Cependant, il faut garder en tête qu’à la fin, tous auront intégré les mêmes connaissances.

L’ordre des cours, le programme donc, permet également de développer le sens du toucher qui se transforme tranquillement en écoute ostéopathique. Les techniques mécaniques sont donc les premières enseignées suivies de techniques crâniennes et viscérales.

Finalement, de tous les cours que j’ai suivis dans ma vie, ceux de l’Académie Sutherland étaient des plus intéressants. La passion de l’ostéopathie transpirait de ces professeurs et cela vaut les erreurs de structure dû à la jeunesse de cette école. Je suis fière d’avoir fait mon cours à l’Académie Sutherland.

CLIENTS SATISFAITS, OSTÉOPATHE SATISFAITE!

Je veux aussi vous partager la satisfaction de mes clients face aux traitements qu’ils reçoivent. Depuis six années déjà que je pratique l’ostéopathie (à temps partiel au début et à temps plein depuis 2 ans), la qualité des traitements ne cesse d’augmenter. Les cas traités sont de plus en plus complexes et pourtant l’augmentation continuelle des connaissances fait en sorte que l’efficacité des traitements que je donne est aussi de mieux en mieux. Le fait de pratiquer les techniques dès la première année d’étude a beaucoup contribué à ce succès.

Les gens que je traite ont des pathologies variées telles que problèmes articulaires (bursite, tendinite, perte de mobilité, maux de dos, de cou), problèmes de digestion, de foie, migraine, vertige, anxiété, problèmes d’attention, crânes de nourrissons déformés, torticolis congénitaux,… La formation reçue à l’Académie Sutherland m’a permis d’aider chacune de ces personnes aux prises avec un ou plusieurs de ces maux.

L'APPRENTISSAGE PAR LES CHAÎNES DE MAILLONS...UNIQUE!

Je voudrais partager avec vous l’importance de la philosophie que j’ai reçue à l’Académie Sutherland lors de mon cours d’ostéopathie. La façon de voir la problématique et de la traiter ostéopathiquement est toute particulière à cette profession. Cette philosophie nous a été enseignée par M. Guy Voyer D.O. Il a su nous transmettre sa passion de l’ostéopathie et par le fait même l’importance d’avoir une philosophie et de la respecter.

Par exemple, la notion de globalité nous permet d’imaginer et de comprendre l’anatomie dans son ensemble, c’est-à-dire, en trois dimensions, avec tous les liens de continuité et de contigüité possibles avec le reste du corps. Dans le même esprit, le rôle primordial de l’artère nous fait comprendre que toutes structures, pour bien fonctionner, doivent d’abord et avant tout être bien nourries. Les structures anatomiques prises individuellement ne sont rien mais que c’est le lien qu’elles ont entre elles qui les rend si importantes afin que les systèmes fonctionnent efficacement! L’importance du lien est fondamentale à tous les niveaux, même au niveau des rapports humains!

Tous ces principes de base, essentiels à la compréhension de l’ostéopathie, sont enseignés à l’Académie Sutherland. Lorsque l’on a intégré cette philosophie, l’efficacité des traitements est grandement augmentée. On ne fait pas qu’appliquer des recettes à cette école, on crée des chaînes de traitements uniques à chaque jour et de là, on relie l’art à la science où l’ostéopathie se balance harmonieusement entre les deux.

Lyne GIRARD D.O.
Diplôme d’Ostéopathie, Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec, 2009.
Bacc. Sc. Biologiques, Université de Montréal, 1991.
M.Sc. Neurologiques, Université de Montréal, 1993.

BAC PAS BAC, J'EMBARQUE!

Lorsque j’ai décidé d’étudier l’ostéopathie, j’ai bien sûr regardé les différentes écoles ainsi que les critères d’admission dans la région de Montréal. Mon choix s’est arrêté sur l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec, puisque c’était la seule école à offrir un programme à temps partiel qui n’exige pas de préalables spécifiques pour pouvoir suivre le programme. Malgré le fait que j’ai eu un parcours académique et de l’expérience pertinente à ce domaine, les autres écoles se sont obstinées au fait que je ne possède pas de BAC. L’ASOQ, malgré son ouverture récente à ce moment, me semblait un excellent choix étant donné l’ouverture, la philosophie qu’elle présentait. Tout le monde peut devenir ostéopathe, si on mets les efforts bien sûr!

La philosophie ostéopathique transparait partout: la façon d’enseigner, la façon dont nous devons étudier, les examens, les travaux, les discussions, etc. C’est d’une nouvelle façon que je vois l’anatomie, la physiologie et la biomécanique du corps humain, où l’on nous montre en plus tous les liens importants, base même de l’ostéopathie. Nous devons COMPRENDRE la matière et non l’apprendre par coeur, et la répétition des notions permet de bien retenir la matière. Cette approche unique rend l’apprentissage beaucoup plus facile et agréable de toute la complexité du corps humain.

Je remarque que même le déroulement des cours ainsi que les techniques enseignées sont complètement différentes des autres écoles. Plus de 80% du temps des séminaires est utilisé pour la pratique des techniques, ce qui veut dire que dès le jour un, l’écoute et/ou le toucher du futur thérapeute se développe. Les deux premières années sont surtout axées sur les pompages ostéo-articulaires et le travail fascial, dont la qualité d’enseignement et l’angle d’étude abordé sont à eux seul une grande force de l’école. De plus, des exercices d’autonormalisation sont inclus dans la formation, afin de pouvoir impliquer le patients dans le processus de traitement et ainsi soutenir le travail effectué par l’ostéopathe. Les ELDOA, les étirements myo-fasciaux, la gymnastique vasculaire et les exercices respiratoires permettent une responsabilisation du patient face à sa santé, une coopération essentielle entre le thérapeute et le patient.

Par la suite, une multitude de techniques viscérales sont enseignées pour bien travailler chaque structure de l’abdomen, et cinq séminaires sont nécessaires pour couvrir le travail crânien. Ajoutons à celà le travail volumétrique, les différents diaphragmes du corps, le TOG, le médiastin, et nous allons même jusqu’à traiter les chaînes hormonales! À chaque séminaire, nous avons au moins une centaine de techniques, ce qui, au bout de 6 ans, nous fait une multitude d’outils pour aider nos patients.

Évidemment, pour nous aider à avoir des diagnostiques d’exclusion, il est indispensable d’avoir des cours de sémiologie. Le professeur nous enseigne donc différentes pathologies et symptômes pouvant exister, afin de savoir quand référer le patient à son médecin. Par contre, étant un médecin ainsi qu’ostéopathe, il nous fait réfléchir à ce que nos techniques peuvent faire pour aider le patient même si celui-ci va consulter son médecin. Les incidences physiologiques de nos techniques sont donc complémentaires au travail du médecin, et par ce cours, nous apprenons l’application pratique en lien avec différentes pathologies.

En résumé, l’ASOQ est pour moi une école hors du commun qui est très complète dans son enseignement, et respecte la complexité de l’être humain en étant elle-même complexe dans son enseignement. La philosophie appliquée dans son ensemble nous permet de changer notre être, notre perception des choses ainsi que notre savoir-faire. C’est mon intime conviction qu’avec des années d’expérience en plus, graduer de l’Académie Sutherland fait de nous un ostéopathe de haut niveau

 DE COMPLIQUÉ À COMPLEXE...

Cette école a été fondée, en 2001, en respect de la philosophie traditionnelle. C’est une formation complète qui permet d’être un ostéopathe au bout de 6 années d’étude.

L’accès à ces études de haut niveau est donnée à tous, puisqu’elle ne nécessite pas de préalable spécifique. En effet, il faut manifester un intérêt pour l’ostéopathie, dans une lettre ou une entrevue. Les non-initiés devront seulement mettre plus d’effort pour l’acquisition des sciences de base. Mais lorsqu’on investit autant d’argent et que la passion y est, qu’est-ce que c’est d’y mettre beaucoup de temps et d’énergie pour réussir!? W. G. Sutherland était journaliste à la base avant d’être ostéopathe… ce qui ne l’a pas empêché d’être l’un des pères fondateurs de l’ostéopathie et d’introduire la thérapie au niveau crânien, qui est maintenant un pilier dans le traitement.

Guy Voyer D.O. est le directeur pédagogique de l’ASOQ, et a bâti un programme qui respecte l’approche globale de Still. Nous avons 6 ans pour changer une mentalité analytique et cartésienne, et il a choisi de nous faire comprendre le tout par différents moyens. En plus de lire l’historique de l’ostéopathie, soit Still, Littlejohn et Sutherland, nous devons lire les écrits du philosophe Edgard Morin et ceux de Joël de Rosnay pour son approche systémique, sans oublier les échanges que nous avons parfois à l’intérieur des cours. À travers ce cheminement, on ne peut que finir par changer notre façon de voir les choses et devenir plus ouvert, prêt à s’adapter à tout obstacle tout en étant à l’aise dans cette insécurité, tout en ayant l’idée de la relativité. Je crois qu’il est important de changer notre raisonnement afin de devenir complexe, tout comme le corps humain l’est.

Toujours dans l’optique d’être ouvert et d’intégrer différentes notions, nous devons effectuer des stages d’observations durant nos 6 ans d’études. Bien sûr il doit y en avoir avec Guy Voyer pour bien voir ce qu’il nous enseigne, mais nous devons aussi observer des ostéopathes de d’autres écoles. Même dans la façon dont les examens sont construits, en questions de synthèse qui permettent d’imbriquer nos différents acquis, nous devons développer un esprit critique et une rapidité de réflexion, pour ensuite bien mettre en mot notre mode de raisonnement.

Il est évident que devenir complexe en tant que thérapeute nous aide pour traiter la complexité du corps humain, mais la richesse de la philosophie enseignée à l’ASOQ s’applique à toutes les facettes de notre vie et la rend ainsi plus facile!

Jean-François Ladouceur, étudiant 5ième année ASOQ

jeudi 4 février 2010

A JOURNEY THROUGH MACROSCOPIC VIEW!

I wanted to share the richness of my experiences as an osteopathic student at the ASOQ. The philosophical part of my education shaped and touched me in ways I did not expect. Under the guidance of the school’s pedagogical director, Guy Voyer, DO, I began to find a new way to look at disease and the functioning of the human body.

That journey into the philosophy of traditional osteopathy touched many aspects of my personal and professional life.

To look at the world from a wide lens, taking in all the elements of its experience and not isolating one thing, is the essence of artistry. It is from this perspective that Guy Voyer told us to began as students. Even when reading our anatomy textbooks he told us to skip over the part about what an organ, fascia, nerve or vessel was by itself. He wanted us to study the descriptions of what it touched, what went through it, by or around it. Only the relationship with all other things is what matters when we are in the business of freeing up all structures for optimum functioning. How true that is in all elements of human experience. So began the journey of how this macroscopic view began to shine through my work with patients and I began to change because of it.

Guy had us feel the many layers of the human body, working with the fascia, the bones, the vessels and the fluids. They cannot be separated out from each other, but they can be palpated appreciating their different characteristics. Then they can be used for the art and the science of diagnosing and treating the condition of the patient. In osteopathy, this is a process that is not linear. Diagnosing and treating happen at the same time. The human body is ever changing and each contact that we make with our hands affects the patient in many ways. For example, Guy taught us how to be very efficient and effective to reinstate proper biomechanics of the body, so that physiological function returns to normal. Then the osteopath can continue their job of not just adjusting bones, but normalizing fascial restrictions, balancing the central nervous system, following endocrine chains and harmonizing the global primary respiratory mechanism. This mechanism is a scientific, well defined process that connects all systems and is in relationship with the other biorhythms of the body. The extensive study and understanding of this mechanism is the cornerstone of osteopathy and the traditional osteopathic program at the ASOQ honors this fully.

My osteopathic education at the ASOQ has given me many tools in my therapeutic toolbox, but most importantly an overall philosophy from which to work. My practice is overflowing from referrals from happy patients who say the work is so efficient and the positive results are clear. Osteopathy is the fruit of cooperation.

HOW I SEE ASOQ

As a recent graduate of the Academie Sutherland d’Osteopathie du Quebec (ASOQ), I would like to pass on my reflections on this school, the curriculum and the courses.

In my first year of studies at the school, I was impressed with the curriculum and course outline. I did my B.Sc. in Physiology at McGill and at a theoretical level, the things we were learning in that first year was already a step above what I learned in my entire undergraduate degree. As the years progressed we learned in-depth anatomy, physiology, semiology, radiology which always complemented the manual osteopathic techniques and approaches we were practicing.

The time given to the practical component of osteopathic treatments is a great strength of the school. Once the anatomy is duplicated in the mind of the osteopath, there are many different ways to follow the patient to correct a given lesion. We were presented with many options, many avenues and the many ways that the whole human body is in constant inter-relationship with all its parts. There were no recipes given, but an encompassing philosophy which allowed students to adapt and create a treatment plan that allowed new emergences and a creative approach.

I support the school and its pedagogy, and I hope to see this education flourish and prosper.

Sincerely,

Jennie ANSTEY, D.O.

dimanche 31 janvier 2010

RIEN N'EST LINÉAIRE, TOUT EST MOUVEMENT!

Dès la première minute du premier jour du premier cours d’ostéopathIe auquel j’ai assisté, j’ai su que cette philosophie d’enseignement était en complète harmonie avec ma philosophie de vie. Et cette philosophie s’exprimait non seulement dans le contenant, la forme d’enseignement, mais aussi dans le contenu. Le discours me faisait vibrer. En six ans, j’ai étudié, étudié, étudié, pratiqué, pratiqué, pratiqué. Ce que j’y ai acquis, ce sont des connaissances scientifiques extrêmement complètes et complexes. Ce que j’y ai pratiqué, c’est un art qui se sert de ces connaissances pour s’exprimer. À la fin de ces six années, je n’allais plus jamais voir le corps humain de la même manière. Je m’étonne encore de toutes ces connaissances anatomiques que j’ai.

De la simple structure musculo-squelettique d’une coxo-fémorale à la portion cartilagineuse du conduit auditif externe. Cette dernière offrant insertion au fascia cervical superficiel, la connaissance des liens de continuité et de contiguité me font passer par la ligne blanche du cou, le fascia cervical moyen, le ligament sterno-péricardique supérieur, le péricarde, ligament sterno-péricardique inférieur, le diaphragme, les replis péritonéaux de l’abdomen, le fascia transversalis jusqu’à l’iliaque, les fascia des fessiers se terminant dans le deltoïde de Faraboeuf, jusqu’à la coxo-fémorale, reliant ainsi les deux structures...

S’ajoutent à ces connaissances, la physiologie (que ce soit celle des glomérules rénaux ou des bâtonnets de l’œil) la biomécanique, la sémiologie. Je n’aurais pu mettre en lien tous ces éléments si ce n’eut été de l’enseignement. Rien n’est linéaire, tout est mouvement. Mon apprentissage a été un processus, non une procédure. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse dans ce type d’enseignement mais plutôt un cheminement et surtout, la compréhension. Ça m’aura pris trois avant de « comprendre » le corps humain. Maintenant cette compréhension fait partie de moi. Toutes les connaissances acquises ne me quittent plus. Quand je pense à mes études dans des institutions scolaires où on me validait par des choix de réponses, il ne me reste plus beaucoup de ces connaissances apprises par cœur. Ce que je retiens de mon apprentissage à l’Académie Sutherland d’ostéopathie c’est l’intégration de connaissances qui font de moi une ostéopathe de haut niveau. Et cet enseignement continu chaque jour de ma vie.

ENTRE LES LIGNES...

Je ne fais pas partie de ceux qui ont choisi de devenir ostéopathe. Ce fut un concours de circonstance, une écoute de la vie qui m’a menée directement assise face à un drôle d’homme qui, m’avait-on dit, se nommait Guy Voyer. À l’écouter parler, ce n’est pas les grands principes ostéopathiques qu’il élaborait qui m’ont premièrement interpellé. Ce n’est pas non plus l’ampleur des connaissances scientifiques. C’est le comment, le mode de transmission des connaissances, le « entre les lignes ». Tout semblait rond dans ses explications, global, inter-relié, tout avait tellement de sens! Je poussais un soupir de soulagement en me disant « enfin! ». C’est ainsi que la vie m’apparaissait jusqu’à ce jour et quelqu'un arrivait à le mettre en mot, à en faire une philosophie dans l’approche de son travail, une philosophie de vie. L’approche philosophique qui vit, vibre à l’Académie Sutherland, c’est celle-là qui donne le petit plus à cette thérapie si efficace. Parce que les connaissances scientifiques, la maitrise de l’anatomie, de la biomécanique, de la sémiologie, la pratique des techniques, tout bon thérapeute peut les transmettre. Mais la compréhension du corps humain, de la vie qui vibre à l’intérieur des cellules et comment nous, ostéopathe pouvons interagir avec cette vie, seul quelqu'un empreint de cette philosophie donne aux connaissances scientifiques nécessaires, l’envol vers un niveau supérieur de pratique thérapeutique.

NOUVEAU PATIENT, NOUVEAU DÉFI

Mon travail comme ostéopathe ne cesse de m’étonner chaque jour. Les connaissances que j’ai du corps humain et la vision globale et complexe que j’en ai me permettent de traiter et de faire un bout de chemin vers l’équilibre, vers la santé de chacun de mes patients. À chaque personne qui entre dans mon bureau : un nouveau défi. À chaque personne qui en sort : un accomplissement, si petit soit-il. Parce que l’ostéopathie n’est pas de la magie. Mon travail est d’évaluer, comprendre la personne que j’ai devant moi, son histoire, ses lésions, ses douleurs. Mon travail c’est sentir, voir comment ces lésions se sont organisées dans le corps, quels chemins elles ont pris. Mon travail est d’utiliser l’outil le plus simple mais le plus merveilleux du monde, mes mains, pour normaliser ces lésions, équilibrer différentes structures entre elles, faire relâcher les tension, soulager. Mon travail c’est aussi d’être outillée pour donner des exercices d’auto normalisation à mes patients pour qu’ils prennent la responsabilité de leur bien être. Je ne suis qu’un petit plus à leur atteinte de la santé, je suis de passage dans leur vie parfois pour une heure, parfois pour quelques semaines, quelques années… Alors non l’ostéopathie n’est pas de la magie. Mais combien de fois je peux entendre dans une semaine, « tu as fais de la magie! » Et combien de fois mes collègues me disent entendre la même chose!
 
Je suis outillée pour comprendre mon patient, je suis outillée pour traiter mon patient, je suis outillée pour le conseiller dans la recherche de l’équilibre de son corps. L’histoire de l’ostéopathie nous parle des premiers ostéopathes comme des rebouteux. Ajoutons-y toute la philosophie de complexité et de globalité transmise à l’Académie Sutherland, tout l’art de l’écoute et du toucher enseigné par Guy Voyer et vous aurez accès à une ostéopathie riche, vraie, pleine de liens et d’interactions. C’est ce que je m’efforce et me plait à appliquer à chaque heure que je passe dans mon bureau de travail et les résultats sont gigantesques.
 
Marie-Hélène LEMAY-DROLET, D.O.

BEL AMALGAME DE RATIONNEL ET D'INTUITIF

Cette histoire a débuté en janvier 2007…

Alors que je m’apprêtais à remettre mon dossier de candidate dans une école d’ostéopathie établie depuis plus de vingt ans, j’ai fait la rencontre d’un étudiant de l’Académie Sutherland.

Ce fut une belle rencontre.

Il m’a parlé de son expérience et de son appréciation d’une façon telle que j’ai dévié ma course et je suis allée rencontrer l’une des directrices de l’Académie dans le but d’y devenir étudiante.

Ce qui m’a fait dévier de mon chemin initial s’apprécie en deux temps…

Le contact avec ces deux êtres ayant comblé le rationnel et l’intuitif…

Le rationnel puisque l’application de l’ostéopathie à l’Académie Sutherland se base sur la constitution anatomique, beaucoup, beaucoup d’anatomie.

Ce qui me plait profondément.

L’intuitif puisque ces deux personnes côtoyées ont su me transmettre leurs passions, leurs convictions le tout d’une façon simple, accessible et pas snob du tout.

Ce qui m’a plu profondément aussi.

J’ai débuté ma formation en ostéopathie en étant fermement convaincue que c’est cette école qui me convenait le mieux.

Ce dont je demeure convaincue trois ans plus tard.

Les deux plus grandes qualités nécessaires pour cheminer dans cette école sont la persévérance et l’autonomie.

Les professeurs qui m’ont enseigné ont fait preuve de professionnalisme ainsi que d’un haut niveau de pédagogie.

Le contenu des séminaires étant basé sur l’acquisition de notions pratiques fait en sorte que la matière apprise peut rapidement être mise en application…Au grand plaisir des clients, particulièrement ceux aux prises avec des douleurs chroniques…

Je ne comprends pas la controverse ayant terni la réputation de cette école.

L’ayant moi-même fréquenté assidûment durant deux ans…

Si cela est lié à son directeur pédagogique, M. Guy Voyer et bien…

On aime ou aime pas le personnage, cependant on ne peut ignorer son génie.

Sa contribution à la discipline ostéopathique est incontestable.

Je vous salue, ostéopathiquement,

Nathalie Noel, infirmière et somathérapeute graduée de l’AS.

MON FUTUR, C'EST À L'ACADÉMIE SUTHERLAND

La philosophie unique et l’enseignement supérieur de cette école en font un choix de marque. Ces derniers ont été amenés par Guy Voyer, maître dans son art.

L’Académie Sutherland m’a permis d’aborder mes traitements de façon plus globale. Les techniques apprises me permettent d’avoir plus de précision et d’efficacité au niveau de mes interventions thérapeutiques. Je suis tout à fait d’accord pour dire que plusieurs écoles d’ostéopathie sont bonnes, mais aucune ne pourrait me donner les outils que m’offre cette école.

Je prévois devenir ostéopathe et c’est par l’entremise de l’Académie Sutherland que je le serai.

Valérie Morissette
étudiante

UNE FORMATION COMPLÈTE EN SOI

Je m’appelle Josiane Boutin et je suis diplômée en ostéopathie de l’Académie Sutherland d’ostéopathie du Québec depuis septembre 2009. Je prends quelques minutes aujourd’hui pour témoigner de la formation ostéopathique reçue dans les six dernières années.
Tout d’abord, l’Académie Sutherland d’ostéopathie du Québec offre une formation complète de haut niveau étant répartie en différents séminaires. Ce que j’ai particulièrement apprécié dans la répartition de la formation est qu’au cours des deux premières années, les cours sont ciblés d’abord sur l’apprentissage de techniques fondamentales de base au niveau ostéo-articulaire (pompages) et fascial. Ceci permet à l’étudiant de développer son écoute et son toucher et de mettre en évidence les liens existants entre les différentes structures par le tissu fascial. L’étudiant peut ainsi se développer dans la complexité ostéopathique mettant en liens les différentes composantes de l’être humain. De plus, c’est au cours de ces deux premières années que nous sont appris de nombreux exercices d’auto-normalisation (étirements myo-fasciaux, ELDOA, exercices circulatoires et respiratoires) précieux dans la prise en charge du patient dans sa guérison et très complémentaires au traitement ostéopathique.

Par la suite, les séminaires sont répartis au niveau crânien, viscéral, structurel et hormonal. Chaque composante de l’être humain est abordée dans cette formation dans les moindres petits détails nous permettant de bien comprendre le fonctionnement de chacune d’entre elles. Que ce soit au niveau oculaire, au niveau larynx-pharynx, au niveau des nerfs crâniens, au niveau structurel, comme au niveau des chaînes hormonales, nous avons appris à traiter chaque partie avec une grande précision.

Aussi, tout au long de ces six années, des cours de sémiologie nous sont donnés, en fonction des apprentissages, afin de savoir faire un diagnostic différentiel et d’ainsi pouvoir référer au niveau médical au bon moment, ce qui est primordial pour l’ostéopathe.

Un autre aspect très intéressant de cette formation est que suite à la fin de la deuxième année de formation, un diplôme en somatothérapie nous est octroyé nous permettant ainsi de débuter notre pratique et de pouvoir effectuer des reçus pour nos patients. Ceci nous permet de mettre progressivement en application nos apprentissages afin de mieux les intégrer. De plus, notre clientèle se développe petit à petit au cours de notre formation nous permettant, à la fin de celle-ci, d’avoir un bassin de patients et une clientèle en vue d’être établie.

Je suis donc très satisfaite de la formation que j’ai reçue à l’Académie Sutherland d’ostéopathie du Québec et je recommanderais cette école à toute personne désirant faire une formation ostéopathique de haut niveau lui permettant de bien connaître le fonctionnement du corps humain et la façon de le traiter pour lui permettre de retrouver sa pleine liberté de mouvement.

UN GRAND COFFRE À OUTILS

J’ai commencé ma pratique depuis juillet 2005 suite à l’obtention de mon diplôme de somatothérapie.

Lorsque j’ai débuté ma pratique, celle-ci se faisait selon les apprentissages que j’avais acquises au cours de mes deux premières années de formation. Déjà à ce moment, il m’était possible d’observer l’efficacité des techniques apprises lors de ces années malgré que ce ne soit que les deux premières. Par la suite, tout au long de ma formation j’ai pu ajouter les différents éléments appris à mes traitements et observer tous les bienfaits que je pouvais amener à mes patients.

J’ai souvent décrit ma formation ostéopathique comme une formation très pointue me permettant de bâtir un grand coffre à outils qui me permet d’avoir la possibilité de prendre plusieurs chemins dans le traitement d’une même problématique, tout dépendant du patient. Les apprentissages faits au cours de ces six années sont extrêmement précieux et je réalise aujourd’hui qu’ils me permettent de pouvoir suivre mes mains par mon écoute et mon toucher en ayant une intelligence dans mes mains grâce à toutes ces techniques apprises.

Je viens tout juste d’être diplômée et déjà, ma clientèle est établie et ce par le bouche à oreille ce qui me permet de croire que mes traitements sont efficaces et que je suis en mesure de soulager les douleurs de mes patients. De plus, ce qui est vraiment intéressant, c’est que je traite autant des bébés, des femmes enceintes, des athlètes et des gens de tous âges. Ceci représente pour moi un défi supplémentaire m’amenant constamment à me référer aux différents apprentissages faits dans mes cours et à chercher toujours à me dépasser. L’être humain étant un TOUT formé de différents systèmes, il est primordial de prendre en compte l’être humain dans sa globalité et de pouvoir traiter chacune des parties le composant. La formation ostéopathique que j’ai reçue est basée sur cette philosophie ostéopathique et il m’est possible d’observer toute l’efficacité d’un traitement fait dans la globalité versus un, fait spécifiquement par rapport à la symptomatique du patient.

Bref, de jour en jour, je peux apprécier toutes les connaissances que j’ai acquises dans ma formation ostéopathique et qui me permettent aujourd’hui de pouvoir pratiquer le métier de ma vie en ayant des résultats m’impressionnant jour après jour.

Guy VOYER, D.O., UN HOMME DE PASSION!

Tout d’abord, je dois mentionner que M. Voyer D.O. est passionné par cette magnifique profession qu’est l’ostéopathie et que son enseignement en transpire. Il est un enseignant nous poussant à nous dépasser jour après jour pour aller plus loin dans notre apprentissage et notre pratique ostéopathique.

Le premier jour du premier cours d’ostéopathie que nous avons reçu était un cours d’introduction où la philosophie ostéopathique traditionnelle, partant de nos ancêtres, était mise en avant plan afin de mettre en place, dès le début, les bases de notre apprentissage. Par la suite, il n’y a pas eu un cours tout au long de ces six années où nous ne nous sommes pas fait rappeler les éléments appris lors de ce premier jour de ce premier cours. M. Voyer D.O. nous a sans cesse amené à nous référer à cette base qui est le fondement de notre profession.

L’ensemble des apprentissages fait dans ce cours est basé sur l’approche systémique associée à l’ostéopathie. Celle-ci est basée sur quatre grands concepts : interaction, totalité, complexité et organisation.

L’être humain est un système complexe dans lequel les systèmes sont en interaction les uns avec les autres. Il n’est pas la somme de ces systèmes mais la totalité émergente et organisée par un agencement de relations entre éléments .

Chaque partie de l’apprentissage est effectuée dans cette approche philosophique que ce soit dans la façon de faire notre apprentissage anatomique et physiologique que dans la façon d’évaluer nos apprentissages par des examens à développement nous faisant faire les liens entre nos connaissances et les applications ostéopathiques.

M Voyer D.O. a su allier la rigueur du côté scientifique de l’ostéopathie à l’aspect art de cette profession en transmettant les apprentissages dans le liens existant entre les différents éléments composants l’être humain et en nous amenant à les sentir par notre écoute et notre touché.

Bref, M. Guy Voyer D.O. a su être un guide dans ce périple ostéopathique et a su m’amener à me dépasser afin de découvrir toute la richesse de cette profession qu’est l’ostéopathie.

Josiane BOUTIN, D.O.
Québec

mardi 26 janvier 2010

L'OSTÉOPATHIE: OUVERTURE SUR UN MONDE DE POSSIBILITÉS


ACADÉMIE SUTHERLAND, L'"AS" DE LA FORMATION EN OSTÉOPATHIE AU QUÉBEC

J’ai magasiné, rencontré, discuté, comparé les formations en ostéopathie à Montréal.
Temps plein, temps partiel, budget, accueil, lieux, énergie… J’ai comparé et j’ai choisi de payer

· Pour une formation de 6ans ;
· pour recevoir ce que je ne trouverai pas dans les livres ;
· un savoir-faire, un savoir-être uniques, dans le respect de la philosophie ostéopathique ;
· une sobriété des lieux
· un professorat humble
· une ouverture d’esprit vers les ostéopathes d’autres écoles pour les observations cliniques

À 40 ans, j’ai choisi l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec car

· Le cadre académique, scolaire et d’assistanat n’existe pas ; je suis adulte.

· La théorie retrouvée dans les livres est travaillée chez soi ; je ne paye pas des professeurs qui vont      m’annoncer ce que je peux lire chez moi.

· Je vis un vrai temps partiel ; en approfondissant auprès d’autres écoles, cela devient très accaparent-en plus de l’étude à réaliser chez soi bien entendu et attendue - et nous découvrons des coûts supplémentaires à ceux présentés au départ pour chaque séminaire.

· Je reçois le cours de sémiologie par un médecin-ostéopathe de grande expérience car d’un âge sage.

· Le directeur pédagogique a dirigé des dissections.

· Le directeur pédagogique a créé des exercices uniques, qui ne sont ni des renforcements musculaires, ni étirements musculaires, exercices complémentaires de ce que physiothérapeutes, chiropraticiens, ergothérapeutes, orthothérapeutes, peuvent transmettre.

· Dotée de diplômes universitaires (maîtrise de biochimie, génétique, biologie moléculaire) et ingénieur agro-alimentaire, j’aurai pu choisir la plus ancienne école de formation de Montréal puisqu’elle exige, comme préalable, ce niveau d’études

· Alors que des DO d’autres écoles vous font payer vos stages cliniques, les DO de l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec vous reçoivent avec bienveillance.

· Les techniques acquises dès la première année sont efficaces lors de nos premiers traitements dès cette année-là.

INGÉNIERIE DU CORPS HUMAIN

L’ostéopathie se révèle être un outil thérapeutique merveilleusement complémentaire de notre médecine traditionnelle. Là où notre médecine traditionnelle conclut « il n’y a rien », l’ostéopathie peut voir avec ses doigts.

Doués de propriocepteurs et de capteurs sensoriels performants développés par la pratique, nos doigts sont capables de percevoir des variations subtiles et minimes de textures et de mouvements. En recevant le savoir faire et le savoir être des professeurs ostéopathes de l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec, nous apprenons à les identifier à force de pratique dans nos cabinets dès la première année.

L’ostéopathie est art et science. Art, car l’artiste ne traite pas de façon identique d’un patient à un autre, doit dérouler son traitement selon l’orientation que prennent les tissus du corps. Science car l’anatomie est l’anatomie, la physiologie est la physiologie, la biomécanique est la biomécanique, … Ces domaines doivent être assimilés. L’ostéopathe est l’ingénieur du corps ; il concerte tous les services de l’entreprise pour arriver au résultat optimal. L’ostéopathe vit l’humilité et s’interroge en permanence ; il déroule le traitement selon sa connaissance et son raisonnement. Il vérifie ses hypothèses. L’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec inculque cette complexité, bien différente de la complication

L’ostéopathie est analyse et synthèse ; les 2 hémisphères cérébrales sont sollicitées ; l’ostéopathie exige de l’ostéopathe d’être un tout pour traiter ; la nature a prévu tout cela ; l’ostéopathe traite en s’assurant de la globalité, que le corps de son patient est un tout.

Une entreprise fonctionne-t-elle si chaque service travaille sans communiquer avec les autres ; le corps, c’est pareil ; le traitement ostéopathique, c’est pareil. C’est difficilement ce que vit la médecine traditionnelle et d’autres thérapies recommandées par ses soins (physio, chiro, …) ; c’est la force de l’ostéopathie. Son efficacité n’est plus à prouver.

LE RESPECT DE L'OSTÉOPATHIE TRADITIONNELLE

L’ostéopathie traditionnelle, formation transmise par l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec

Le fondateur AT Still de l’ostéopathie adorait l’anatomie et la mécanique ; un de ses patients JM LittleJohn devenu élève puis enseignant, adorait la physiologie humaine ; WG Sutherland, journaliste et curieux, s’interrogea devant un crâne désarticulé sur la signification des contours crénelés de ses nombreux os ; J Wernham adorait le biomécanique. Ces hommes passionnés et rationnels ont construit l’ostéopathie.

Dans le respect de leurs conceptions et vues, dans le respect de l’évidente réalité qu’est l’anatomie, dans le respect des concepts ostéopathiques vécus et vérifiés depuis 1874, l’ostéopathie traditionnelle touche le corps et tout le corps.

L’ostéopathie traditionnelle est un outil thérapeutique qui traite le corps, pas seulement le crâne ou via le crâne ; demeure en contact avec le corps du patient ; ne peut agir, situé à une certaine distance du corps.

A l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec, nous apprenons l’OSTEOPATHIE TRADITIONNELLE.

Le directeur pédagogique, Guy Voyer, veille à la continuité de sa transmission et à sa pérennité selon Still et ses acolytes et successeurs. TRADITIONNELLE, l’ostéopathie évolue ; la biomécanique des cadavres est remplacée par la biomécanique du corps en mouvement.

Guy Voyer a dirigé des dissections ; par ailleurs sa connaissance orthopédique, sa connaissance digitale des corps extrêmes (gymnases, danseuses classiques, hockeyeurs…de compétition) lui attribue une expertise certaine.

Hormis la transmission des techniques développées ou modifiées au cours des années, il propose un enseignement par la recherche personnelle des connaissances au travers de travaux que les étudiants doivent fournir régulièrement ; rechercher l’information, la trouver, l’exploiter, l’interpréter, créer des liens, émettre des hypothèses, les vérifier, accroît la connaissance, versus l’ingurgitation passive et académique.

Guy Voyer cultive une ostéopathie, berceau de la santé et fait partie de ses ostéopathes qui fournissent des exercices à ses patients, curatifs et préventifs.

Il rappelle régulièrement à ses patients de consulter leur médecins ou spécialistes, d’approfondir des voies où l’ostéopathie a ses limites. Les chirurgies incontournables ne seront pas repoussées.

Dans le respect de l’ostéopathie traditionnelle, Guy Voyer traite selon sa personnalité et son expérience ; en toute humilité, il va s’interroger avant d’agir et agir là où bien d’autres ostéopathes n’auraient songé ou n’auraient pas su comment.

À votre disposition pour vous en parler,

Laure FRANCOIS – lfrancois.qc@gmail.com – 514 560 24 56.
Étudiante en 5e année à l'Académie Sutherland d'Ostéopathie du Québec

UNE NOUVELLE VISION SUR L'ART DE TRAITER

Bonjour,

Depuis 27 ans je travaille dans le domaine de la santé. J’ai terminé un diplôme d’études collégiales en  "Techniques de réadaptation physique " en 1983.

En 2001, je commence à me questionner sur l’efficacité des soins de physiothérapie que je prodigue quotidiennement. Je trouve l’approche de la physiothérapie trop analytique et linéaire.

C’est alors que j’entreprends une formation d’ostéopathie d’une durée de six ans à l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec.

C’est tout mon univers qui s’en trouve bouleversé. Je découvre rapidement l’efficacité de mes gestes car j’applique les techniques de traitement apprises dès le retour à mon cabinet. Les résultats obtenus avec les patients sont tout simplement remarquables.

Pour l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec, en ostéopathie, il n’y a pas de recettes, car chaque être humain est unique. Malgré mon savoir avec mon DEC en Techniques de réadaptation physique, tout ce que j’ai acquis comme connaissance à cette école me permet de traiter les gens avec beaucoup plus d’intelligence, de satisfaction et d’efficacité.

Depuis l’obtention de mon diplôme d’ostéopathie en 2007, mon cabinet de soins est à pleine capacité et je dois refuser des gens quotidiennement.

Mes études d’ostéopathie à l’ASOQ ont changées ma façon de voir les soins aux patients et je recommande fortement cette école.

POURQUOI J'AI CHOISI CETTE ÉCOLE

J'ai choisi cette école, entre autres, pour sa philosophie ostéopathique.

Pour l’ASOQ, l’ostéopathie se situe dans le paradigme de la complexité. Le principal acteur de cette philosophie est M. Guy Voyer, ostéopathe de grand renom.

M. Guy Voyer est un véritable défenseur de l’ostéopathie traditionnelle telle que décrite par Andrew Taylor Still, William-Garner Sutherland et les autres pionniers. Il respecte les fondements de ces anciens, la rend plus vivante et l’adapte aux connaissances actuelles sans en modifier l’esprit.

Son approche est particulière et unique dans l’enseignement entre autres des pompages articulaires avec un délai, la diversité des techniques de normalisations fasciales, les normalisations viscérales. Son enseignement priorise les rapports et les liens des différents systèmes.

M. Voyer est également un pionnier avec la mise en place d’une méthodologie d’enseignement et d’exécution de ses exercices ELDOA (étirement longitudinal de décoaptation ostéo-articulaire), ses EMF (étirement myo-fascial), ses exercices de gymnastique circulatoire, …

Ces cours d’ostéopathie de haut niveau, enseignés par M. Guy Voyer m’amènent à m’investir totalement dans la compréhension du corps humain dans sa globalité pour le mieux être de l’individu. Ces six années d’études ont changé à jamais ma façon d’être et de traiter l’individu.

J'ai aussi choisi cette école parce qu’elle défend l’ostéopathie traditionnelle et respecte les fondements des anciens. Elle s’inscrit dans le paradigme de la complexité et son approche systémique.

C’est une formation de six ans de très haut niveau qui demande de la rigueur, de la constance et de la passion. 

Enfin, j'ai aussi choisi cette école parce que la priorité est toujours donné à la pratique, à la clinique et au travail de synthèse. En tant qu’étudiant, nous devons acquérir les connaissance théoriques de bases reliées à la matière directement abordée durant chaque séminaire. L’acquisition de ces connaissances se fait à partir des polycopiés remis au séminaire précédent, de livres et guides d’apprentissage.

Cette formation comprend des cours théoriques et pratiques, des travaux collectifs de synthèse des techniques, des fiches d’évaluation de nos patients, des journées cliniques avec notre directeur pédagogique et d’autres ostéopathes, des examens écris de synthèse, des résumés de livres, un mémoire de crânien, un mémoire de fascia et un mémoire de fin d’études sur un sujet de notre choix accepté par notre directeur pédagogique.

L'ÊTRE HUMAIN COMME UN TOUT

L’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec, considère que l’être humain forme un TOUT. Le corps ne doit pas être considéré comme une simple machine (linéaire), mais comme un mécanisme vital (complexité).

On y apprend que tout est en lien et en rapport. On y développe un mode de pensée complexe. On y développe l’organisation de notre savoir et cela ne peut se bâtir que par une vue complexe. L’action ostéopathique aide à organiser les connaissances au fur et à mesure de la construction du traitement.

Un des points forts de l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec est le concept de l’auto-éco-émergence. Ce concept fait référence à l’ostéopathie systémique et fait intervenir l’individu (auto), l’environnement (éco) et le bien-être (émergence).

L’enseignement se base donc sur une ostéopathie intelligente qui favorise la prise en charge de l’individu par la pratique des différents exercices enseignés tels que les étirements myo-fasciaux et les étirements longitudinaux de décoaptation ostéo-articulaire, pour ne nommer que ces deux là. L’avantage de cette auto-éco-émergence, c’est qu’elle produit de l’autonomie et l’individu se responsabilise pour retrouver et conserver sa santé.

Je recommande vivement l’Académie Sutherland d’Ostéopathie du Québec à qui veut devenir un ostéopathe chevronné et passionné.

Nicole BABIN, D.O.
261 rang 4est
New Richmond, Qc.
Canada, G0C 2B0